mardi 31 mai 2011

Nouvel article avec Casimir Ferrer dans le journal "Le Tarn libre". Inscrivez-vous au blog pour suivre le compte à rebours avant la parution officielle. Souscrivez dès que possible!

samedi 21 mai 2011

L'axe géométrique...occulte?

Connaissez-vous le fameux axe géométrique qui traverse Paris?
L'arche de la Défense, l'Arc de triomphe, les Champs-Elysées, l'obélisque de la Concorde, la pyramide du Louvre, et l'hotel de ville.

A son échelle, la cité épiscopale d'Albi et ses environs cachent aussi sa ligne invisible. Albi aurait-elle abritée une organisation secrète d'initiés?

Les preuves subsistes de nos jours...

Le curieux destin de deux soeurs...jumelles...

La cathédrale Sainte-Cécile d'Albi cache-t-elle des secrets? La piste révélée dans le roman peut en tout cas le laisser supposer. Sept kilomètres à l'est de celle-ci, dans l'ombre de la cité épiscopale, demeure une chapelle abandonnée depuis plusieurs décénnie, et dédiée à la meme martyre:

Sainte-Cécile du Carla.

Nous pourrions en rester là. Mais le nom qu'elles ont en commun n'est pas le seul point d'ombre. Fait incroyable, toutes les deux sont situées exactement sur la meme latitude géographique. Ce prodige n'aurait rien d'exeptionnel aujourd'hui, mais nous parlons de deux édifices médiévaux, parfaitement alignés par des gens qui n'appliquaient pas encore les sciences telles que nous les connaissons.

Enfin, à ceux qui pensent que les dimensions de la cathédrale font d'elle, l'ainée des deux soeurs, il n'en est rien. La chapelle du Carla est bien plus ancienne que la cathédrale.

La boucle est bien bouclée. Ceux qui ont orienté la cathédrale Sainte-Cécile, l'ont fait en fonction d'une modeste chapelle retirée, dont le village rasé ne fut jamais refondé, et qui perdure ainsi depuis mille cinq cent ans. Et si seulement le mystère s'arretait là...

Alors, que pourrait cacher la chapelle du Carla? Vous le découvrirez bientot...

La cathédrale Sainte-Cécile d'Albi, édifiée entre 1282 et 1320, pour affirmer la puissance cléricale face à l'hérésie cathare.

L'histoire mystérieuse du Carla...


Les origines du site remontent vraisemblablement à l’époque Gallo-romaine, c’est-à-dire au début de notre ère. De nombreux éléments permettent de penser que l’édifice d’origine était un temple solaire.

Lors de la grande invasion des Wisigoths au Vème siècle, ce que nous pouvons considérer comme le premier « village » est détruit, puis reconstruit par la suite. C’est peut-être à cette époque que le nom « Carla » apparait pour la première fois, nom germanique donné par un peuple de la même origine signifiant « force ».

La grande croisade contre les hérétiques cathares mènera Simon de Montfort jusqu’au village en 1209, qui est appelé Mazières (ruines). Simon de Montfort mettra un terme définitif à la vie en communauté autour de l’église.

Par la suite, pour des raisons géographiques et stratégiques, Castelnau de Bonnafous verra le jour, quelques kilomètres en amont. Les seigneurs de l’époque tirent les leçons d’une position trop exposée aux attaques ennemies, et choisissent d’ériger un château armé d’une tour de guet de quarante mètres au sommet de ce nouveau village. Il est à noter que perdurent un autel extérieur, rattaché à l’église du Carla, qui s’aligne parfaitement à la tour de Castelnau. Simple coïncidence ou volonté précise de lier les deux édifices ? Nous sommes aux alentours de 1235.

Désormais seule survivante du site, le destin de l’église du Carla aurait pu s’arrêter là. Pourtant, en 1277, Bernard de Castanet décide d’ériger à Albi une immense cathédrale de briques. Leur destin sera alors lié à jamais, par leur nom commun (Sainte-Cécile), mais surtout par un fait géographique incroyable : leurs positions respectives se situent exactement sur la même latitude. De plus, des études approfondies ont permis de découvrir que le contrefort sud-est porte lui aussi les traces de l’influence solaire : l’astre s’aligne parfaitement avec la pierre, au levé de chaque 22 novembre, jour dédié à Sainte-Cécile.

D’un temple, elle a pu ensuite prendre la fonction de château pour les cathares (pour qui les églises n’avaient aucune valeur religieuse), puis d’une église au XVème siècle. Avec l’église du village de Sainte-Croix, situé un peu plus au nord, elle est la dernière encore debout, parmi un groupe de sept édifices tous détruits, disparus aujourd’hui et dont les lieux dits tels que San Daunis, Abirac, Queyres, ou encore Jussens perdurent. Ces deux édifices ont eux aussi leurs points commun, puisque leur distance est exactement identiques en rapport avec la cathédrale Sainte-Cécile (7,6 km). Encore un exemple affiché de précisions sacrées.

Jusqu’au milieu du XXème siècle, les tentatives de restaurations lui permettrons de subsister, jusqu’à ce qu’elle soit reprise par l’association « Mille étoile pour l’enfance » de Casimir Ferrer en 2006, qui lui offre un nouveau souffle en 2011.

Elle se visite tous les dimanche de 14H à 18H, ainsi que les jours fériés.

mardi 17 mai 2011

Premières révélations...

La cathédrale peut révéler quelques surprises...visuelles?


L'étrange gardien maléfique albigeois...

Bulletin de souscription
SOUSCRIVEZ DES MAINTENAINT POUR COMMANDER L’OUVRAGE:

15 EUROS si vous faites ce geste avant la parution officielle.

Une partie des droits sera reversée à l’association « Mille étoiles pour l’enfance », créée et présidée par le célèbre artiste, peintre/ sculpteur, CASIMIR FERRER.

Cette association est à but philanthropique social et culturel. Elle a pour objet de recueillir des fonds destinés à agir pour le bien-être des enfants hospitalisés, par l’amélioration de leurs conditions matérielles et psychologiques.

Demandez votre bulletin de souscription sur ineminenti@live.fr

Merci pour eux. Merci pour moi.

jeudi 12 mai 2011

Entretien avec La dépêche du Midi et le Tarn libre pour la promo officielle.